LES CROCS DE LA LUNE
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LES CROCS DE LA LUNE

La Tanière
 
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sirlaffitte
Floodeur timide
sirlaffitte


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MessageSujet: Rp   Rp Icon_minitimeMer 5 Déc - 17:12

Comme je n'ai pas mis de Rp pour ma candidature je vais en mettre quelque un ici.
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sirlaffitte
Floodeur timide
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MessageSujet: Re: Rp   Rp Icon_minitimeMer 5 Déc - 17:13

expression écrite

Verdun:1915


Une pluie drue, fine, tombait depuis 2 jours sur le No man’s Land. Elle avait atteint 1 mètre de haut, transformant les tranchées en un marécage de boue. Dès que nous sortions , elle commençait d’abord à nous frigorifier jusqu’aux os, puis la boue prenait le relais, transformant chacun de nos pas en un combat acharné et émettant un bruit de succion à vous donner le frisson. Mais elle ressemblait aussi à un rideau de théâtre, cachant le carnage, les cadavres, camouflant l’odeur de la mort. Elle nous faisait oublier dans quel enfer nous étions, jusqu'à ce que des tirs d’artilleries nous ramènent à la dure réalité.
Je vis un trou sur le côté de la tranchée où m’abriter en attendant de recevoir l’ordre de partir à l’attaque et je m’y précipita. Dans mon abri de fortune je tentai de nouer la conversation avec mon frère d’armes, pour me changer les idées avant l’assaut :
« -Sale temps.
-Ouais et ça n’ a pas l’air de vouloir s’arrêter. T’es de quelle compagnie ?
-Je suis avec le Sergent Russo et toi ?
-Je viens de sortir de l’infirmerie, mon régiment a été exterminé pendant l’assaut de la semaine dernière, je rejoins donc celle du Mufle .
-Ah oui pas de chance. Je m’appelle Robert, et mes amis me surnomment l’Ancien.
-Moi, c ‘est Arthur. »
Sa poigne était forte et sûre, c’était un jeunot, il ne devait pas avoir plus de 25 ans, mais la guerre l’avait endurci avant l’heure. Son visage était fin, anguleux, une barbe de 3 jours lui poussait sur les joues à certains endroits, ce qui lui faisait des plaques sur le visage. Ses os saillaient à cause du manque de provisions, et il faut avouer que les rats ne sont pas très nourrissants. Il avait tout d’un jeune qui s’était enrôlé pour la gloire, la patrie, comme ils disent. Mais il a dû très vite déchanter en voyant où l’avait amené son envie de célébrité.
Pendant une accalmie, je lui demandais si il recevait du courrier de sa famille. En réponse à ma question , son visage devint sombre, comme si le voile de la mort s’ était abattu sur lui et malheureusement c’était le cas. Arthur me révéla qu’ il s’était enrôlé dans l’armée pour se venger. Ma curiosité piquée, je le questionnais : Le jeunot me raconta que sa famille avait été tuée par les Allemand lors de la destruction de son village natal, dans la vallée du Rhône, qu’il était parti chasser et qu’à son retour il n’avait trouvé que ruines et cadavres. En avançant parmi ce qui était quelque heures auparavant un village plein de vie, avec les enfants souriant en train de jouer à cache-cache dans les ruelles où retentissaient les bruits du marché, les cris des vendeurs pour attirer les clients, du discours d’un maréchal-ferrant énumérant les qualités d’un cheval qu’il n’avait jamais vu, du commérages des femmes sur les derniers potins de la petite communauté. Tout cela avait disparu, seul restait le silence perturbé par les croassements stridents des corbeaux qui commençaient déjà a se repaître sur les morts. En arrivant devant la bâtisse fumante qui était autrefois son foyer, le jeune homme ne put s’empêcher de vomir tripes et boyaux en voyant ce que les allemands avaient fait à sa famille. Après avoir calmé son estomac, il avait creusé des tombes pour les membres de sa famille puis il était parti s’enrôlé dans l’armée du village voisin qui avait été épargné.
Abasourdi, voilà comment était Robert quand Arthur eût finit de narrer son histoire. Même lui n’avait jamais vécu une histoire pareille et pourtant il en avait vu des horreurs ! En repensant que, quelques minutes plus tôt, l’Ancien ne voyait en lui qu’un jeunot qui sortait a peine des jupes de sa mère, il découvrait maintenant un homme. Et c’est avec une voix remplie de respect qu’il parla:
« Et bien… »
Une voix fusa, tel un coup de tonnerre, dans la tranchée :
« Tous a vos postes !!! Baïonnettes au canon !! Dépêchez-vous ! tas de fainéant ! »
Arthur, d’un bond, fut sur pied et m’aida à me relever en me disant que nous reprendrions notre conversation plus tard.
« En avant, et pas de quartier ! »
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sirlaffitte
Floodeur timide
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MessageSujet: Re: Rp   Rp Icon_minitimeMer 5 Déc - 17:14

un deuxieme:

Récit à chute

L’horreur

L’aube venait de se lever et une lueur fantomatique éclairait le ravin, une forteresse était visible, au Nord, acculée à une falaise rocheuse. Elle était haute, plus d’une centaines de pieds, et ne comportait ni remparts, ni tourelles ni fortifications. Elle n’avait pas non plus de fenêtres, de balcon,… Elle ressemblait à une butte de terre rouge, avec une seule et unique entrée à sa base. En face, à l’autre bout du ravin long d’une demie-lieue, les falaises laissaient la place à une colline boisée. Cette colline était un lieu obligatoire de transit pour pouvoir atteindre la vallée.
Une sentinelle sursauta. Il se leva, mit sa main en visière et observa attentivement, du haut de la colline qui lui servait de poste d’observation, la lisière des arbres à une centaines de pas de lui. Il aurait juré avoir aperçu un reflet du soleil entre deux buissons. Ne voyant rien, il se dit qu’il avait dû rêver. L’ observateur se rassit, et recommença a manger. Quand il eût finit, il alla faire ses affaires et se raidit : une douleur fulgurante venait de lui traverser le dos et le ventre, la sentinelle baissa lentement les yeux et vit avec effroi un reflet d’acier teinté de rouge dépassant de son abdomen. L’agresseur fit tourner son arme et arracha un cri de douleur à la sentinelle qui, dans un soubresaut, s’affala contre le sol humide. Le tueur posa un pied contre la carcasse sanguinolente et arracha d’un geste sec son arme. Puis il rengaina son épée et cria un ordre. Aussitôt des centaines de guerriers sortirent du couvert des arbres et se dirigèrent en courant vers la butte rouge.
Les ouvrières discutaient paisiblement en ramassant de la nourriture quand elles virent les intrus courrant vers eux en silence. Elles prirent aussitôt la fuite et, en arrivant devant la porte, crièrent à tous et à toutes que des ennemis étaient dans le ravin. L’alerte se répandit comme une traînée de poudre dans toute la petite ville, les soldats arrivèrent en courant à son unique entrée et prirent position les armes au clair, prêts à défendre chèrement leur ville et tous ses habitants.
Les envahisseurs se mirent à pousser des cris sauvages, exhibèrent leur armoiries : c’était celle des « Cerf-Volant », une race rassemblant les Lucanes. Ceux-ci se pressèrent d’escalader la dernière dépression surplombant leur but.
Les soldats se tenaient près à recevoir la première charge, ils regardaient intensément la dépression, la sueur leur coulant entre leurs yeux. Soudain, les ennemis apparurent ! Ils étaient grands et paraissaient musclés. Ils avaient une carapace qui leur recouvrait tout le corps d’un vert profond, luisant, presque métallique, qui réverbait les rayons du soleil aux points qu’ils en devenaient aveuglants et qui les faisait ressembler à des démons venus de l’Enfer. Elle se prolongeait sur leur crâne triangulaire, en deux longues pointes recourbées et parsemées de piques. Ils s’arrêtèrent en haut de la dépression, surplombant les défenseurs d’un air hautain. Puis sans crier gare, ils chargèrent. Ils se déversèrent dans la descente tel un torrent en furie, balayant tout sur son passage, avec une force et une cruauté implacable. Les défenseurs furent submergés et les envahisseurs commencèrent à détruire toutes les poches de résistance qui essayaient en vain de les retenir. Une fois cette tâche accomplie, ils s’enfoncèrent dans l’entrée du tunnel.
Il était large et haut, éclairé par une lumière qui semblait filtrée des murs. Il se divisait en plusieurs chemins, menant chacun à un endroit bien précis. Les premiers Lucanes entrés, ne sachant pas où aller pour atteindre leur objectif, formèrent des groupes qui entrèrent dans des tunnels différents. Certains se dirigeaient vers les sous-sol, où était entreposée la nourriture, d’autres vers les étages supérieurs. Ceux-ci étaient fortement gardés, à chaque détour, des envahisseurs succombaient, gênant la progression de ceux qui suivaient derrière, mais jamais les soldats ne réussirent a les arrêter, tout au plus les ralentissaient-ils. A chaque fois qu’ils réussissaient à tuer un Lucane, un autre prenait sa place, ces démons verts ne cessaient d’affluer. Plus ils se rapprochaient de leur but, plus ils combattaient sauvagement, ignorant les blessures, taillant et abattant leurs terribles mandibules sur leurs ennemis comme sur leurs compagnons d’armes. Le temps s’écoula, les Lucanes progressaient lentement mais sûrement, au bout de ce qu’il semblait être une éternité, ils réussirent à atteindre la Salle du Trône : Une immense pièce, d’une trentaine de pied de long et de large, apparut devant-eux. Un trou pratiqué dans le plafond laissait passer la lueur du soleil couchant, qui éclairait un monticule au centre de la salle. C’est là que se dévoilait, auréolé d’un halo rouge, ce pour quoi ils avaient tant voyagés, traversant les cours d’eaux comme les montagnes, les marécages comme les plaines, ce pour quoi ils avaient combattu cette colonie, et qui était enfin a leur portée. Elle les regardait d’un regard où pouvait se lire, tour à tour, de la peur, de la soumission au destin certain qui l’attendait mais aussi de la colère, et de la fierté pour ces soldats qui étaient morts pour elle, tentant jusqu’au bout de la protéger. Elle regarda d’un œil chaleureux ses enfants, qui n’étaient plus qu’une poignée, l’entourant et se préparant à se battre en son honneur. Puis elle regarda ses ennemis qui entraient dans la salle et la cernaient, une lueur de triomphe dans le regard. Ils chargèrent, la Reine ferma les yeux et se prépara à l’inévitable.
Au moment où les Lucanes engagèrent le combat contre les défenseurs fatigués et qui luttaient avec l’énergie du désespoir, un terrible craquement retentit, le plafond venait d’être arraché et un œil gigantesque obstruait le trou. Une voix grave retentit :
-«Lucas!!! le dîner est servi ! »
Une seconde voix lui répondit :
-« J’arrive maman ! »
Le petit garçon se leva et, jetant une dernière fois un coup d’œil à la fourmilière, écrasa sous son pied la reine des fourmis entourée par les scarabées.
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sirlaffitte
Floodeur timide
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MessageSujet: Re: Rp   Rp Icon_minitimeMer 5 Déc - 17:14

un 3eme (une candidature dans spacefight) mais av. le reset

La ville était immense. Les plus hautes tours s'élevaient a plus de 500pied dans le ciel. Des dizaines de milliers de vaisseaux volaient dans toutes les directions. Cette ville, que dis-je? mégapole! reflétait bien la place solide et importante que possédait la corporation "La Légion des Guerriers Intergalactique". Je me dirigeais vers son centre, vers le batiment énorme qui était le siège de cette alliance. Le garde à l'entrée de la cité m'avait bien dit que je ne pouvais pas le manquer, et il avait raison . Plus je m'approchait plus j'etais imressionné par cette strucure a la pointe de la technologie (comme tout le reste de la ville d'ailleurs). Et plus je m'en approchais, plus je devenais nerveux. Je placa mon vaisseaux devant le rayon tracteur et attendit que mon véhicule atterrissent silencieusement dans le garage E-6. A peine sortit du garage une personne de la base s'approcha de moi et me conduisit jusqu'a la salle d'audience. En chemin je lui demanda comment il savait que je voulait allez la bas alors que je n'était arrivé il n'y avait que quelque minutes, il me répondit, l'ombre d'un sourire flottant sur les lèvres: " Les nouvelles vont vite par ici...". Cette réponse m'intrigua encore plus que ma question.Il me laissa devant les portes de la salle, me prévenant qu'elles s'ouvriraient d'elles même quand tous les membres seraient arrivés.
En attendant que les portes s'ouvrent, je me repassa dans ma tête le discours que j'avait préparé depuis mon départ. Cependant mon anxiété me faisait perdre ma concentration et je me demandait ce que je faisait ici. Je tremblait, j'étais nerveux, angoissé à l'idée de ce qui avait derrière cette porte,j'avais envie de prendre mes jambes à mon cou où... un grondement retentit et les portes s'ouvrirent laisant entrer un flot de lumière aveuglant. J'avais envie de prendre mes jambes à mon cou mais je repensa a tout ce que j'avai fait pour arriver jusqu'ici et, grâce a ce regain de détermination, j'avanca dans la lueur.
La salle était encore plus immense que dans mes rêves les plus fous. Je ne voyais pas le plafond qui disparaissait a des centaines de pied au-dessus de ma tête. Les murs de la pièce était couverts d'écran transparents repassant , en 3D, les scènes les plus connues de tout l'univers, les batailles les plus célèbrent. La salle était entièrement vide a l'exception de 24 sièges en Plutonium, finement décorés des objets les plus recherchés de la constellation. Sur ces sièges, 24 personnes attendait, certaines étaient des amis, d'autres étaient des personnes célèbres par leur exploit, certains datant, d'autres qui venaient d'être fait. Le fondateur me fit un signe de la tête pour m'inviter à commencer ma plaidoirie. Aussitôt, tout mon discours que j'avais préparer s'envola et je prit la parole avec mon âme:

" Je me présente, je m'appelle Laffitte, certains d'entre vous ont peut-etre déjà entendu parler de moi, soit par hasard, soit par mes amis présents parmis vous. Je possède près de 1.250.000pts, j'ai 8 planètes (je peut en faire 9), éparpillé dans toutes les galaxies, certaines près de mes amis, d'autres non. Je suis devant vous aujourd'hui afin de tenter d'etre acceptez parmis vous. Je tient à préciser dès maintenant que je ne viens pas dans cette alliance afin de me protégers de certains joueurs ou de certaines alliances, non! Je viens ici car je connait certain d'entre vous (comme je l'ai déjà dit) et je sais aussi que cette alliance est très motivée et comme je connaît les fondateurs je sais que cette alliance ne prend pas n'importe qui au hasard et qu'ils participent beaucoup.
Certains remettront sur le tapis ce que j'ai fait à la fin de la Star-Empire, et je ne chercherai pas d'excuse car j'assume ce que j'ai fait et même si ces une faute, une bavure je n'inventerai pas d'histoire pour me faire pardonner, si je dois me faire pardonner ce sera par des gens qui me pardonneront pour ca et non pour quelque chose d'autre qu'il croyerons vrai.
Certains remettront sur le tapis les alliance où je suis allées (notamment les B.N.) je leur répondrai que je comprend ce qu'il pense, mais que je n'vais jamais eu de problèmes avec eux et que c'etait une alliance qui marchait bien.
Pour en rassurer d'autre, je vous promet que je serai le dernier a partir si jamais l'alliance tournait mal (ce que je n'espere pas)!
Sur ceux je terminerai en disant que je fait du commerce, alors si vous voulez en faire vous aussi, je suis tout a vous."

La sueur me coulait dans le dos mais je n'y faisait pas attention, j'etais heureux, je n'etais pas sur d'etre prit mais j'avais dit tout ce que je pensais et ma conscience était apaisé. Les membres se levèrent et se dirigèrent a l'autre bout de la salle, dans l'anti-chambre où ils délibéreront. Certins parlait déjà avec son voisin avant même d'être arriver dans la piece. L'individu qui m'avait amené jusqu'ici apparu de je ne sais où et m'invita à le suivre dans l'aile des invités. PS: ca m'énerve beaucoup, j'avais fait un autre Rp, qui en cliquant sur "envoyer", ma ete supprime parce que je navais pas ecrit de message. Alors je suis degouter, et jai refait celui ci (ces le meme que lautre, ces la meme base, sauf que lautre etait qd meme bcp mieux) vraiment desole.
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Ekynox
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MessageSujet: Re: Rp   Rp Icon_minitimeMer 9 Avr - 12:26

tres sympa les RP merci Wink
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MessageSujet: Re: Rp   Rp Icon_minitime

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