C’était il y a longtemps, le seigneur Protoss vivait toujours et encore. Il était passé maitre d’arme d’Yllia, gardien de la plus grande des Tanières jamais creusé dans les entrailles d’une montagne. Et il en était fier, fier d’avoir des responsabilités, d’autres wolfens et même louves à commander, éduquer et protéger. Il avait connu les meilleurs et les pires personnages des 2 galaxies.
Il connaissait tous les wolfens présents, toutes les légendes comme celle de Kassar celui qui a combattu son pire ennemi dans la forêt d'Ashinàn, territoire des terribles Elfes Akkyshan. Ou bien celle de Varghar qui a combattu mille ennemies dans le territoire d’Aarklash !
Il prenait son rôle a cœur mais après quelques mois passé avec de moins en moins de ses amis, Protoss fini par avoir de la nostalgie du passé, moins l’envie, il passait même moins en moins de temps a prié sa déesse.
Un jour alors qu’il somnolé, une créature maléfique prit le contrôle de son rêve, passant de rêve à cauchemar, Protoss voyait la fin des wolfens, la destruction de la Tanière, l’anéantissement total du territoire d’Aarklash, la fin de tout ! Seul survivant d’un telle drame, Protoss continua seul son exode vers la lumière, vers le chemin qui le mènerai vers les siens et revenir auprès de sa déesse de la lune Yllia.
Bien plus tard, il comprit qu’il avait été mystifié, son chef, le premier née, Ekynox lui apprit par le billet d’une prière que les wolfens existaient toujours, ses amis n’étaient pas morts et revenaient sous la même bannière d’autant.
Quelques jours plus tard, l’esprit de Protoss revenu sur la forêt d’Aarklash, s’incarnant en Aphorys, repenti wolfen ! Il avait toutes les connaissances de Protoss, les mêmes valeurs, les mêmes ambitions mais ne serait plus un meneur seulement un wolfen comme tous les autres. Mais il ne viendrait pas seul, les crocs des étoiles l’accompagnés, forgées à partir de métal d'origine météorique. Aucune armure d'Aarklash, si solide soit-elle, ne saurait résister à l'impact d'une telle arme tenu dans ses mains.
Aujourd'hui seulement il osa revenir dans ses lieux, aujourd hui seulement il espérait qu'on le croirait.